Les photos du jour sont de France Poirier.
Une eau turquoise, chaude, pas trop agitée, une longue plage de sable blond, un soleil inévitablement au rendez-vous, un vent rafraîchissant, n’est-ce pas la carte postale à laquelle on rêve tous, surtout quand l’hiver est arrivé? C’est dans ce décor que vécurent pendant près de trois jours, les voyageuses du circuit.
Sur la plage, étendues dans leur chaise longue ou sur le sable, massages, tatouages, manucures et pédicures, dégustation de fruits vinrent ponctuer le plaisir entre les baignades dans une eau dans laquelle on entre comme dans son bain. Les services sont offerts par de nombreux vendeurs, que l’on peut trouver harcelants, et qui viennent hélas souvent déranger la quiétude des lieux. L’humour, la qualité des services et des prix plus qu’abordables aidant firent que tout le monde réussit tout de même à faire bon ménage.
Nous sommes à trois heures de route de Bangkok, dans le golfe du Siam, sur une île nommée Kho Samed. Étant donnée sa proximité de la Capitale, Kho Samed fut l’une des premières développées pour le tourisme balnéaire et demeure l’une des plus fréquentées de la Thaïlande, surtout les week-ends quand arrivent par groupes les Bangkokiens. Nous sommes donc loin de l’île et de sa plage solitaire à laquelle on peut rêver. Et celle-ci, si elle existe encore, se trouve très loin de Bangkok et nécessiterait un trop long déplacement.
La mer est la partie «vacances» du circuit. Elle se trouve au début du circuit, pour permettre aux voyageuses de se reposer d’un long voyage de plus de trente heures et d’un décalage horaire de treize heures. Et Ko Samed fait fort bien «la job».
Le repos à la mer, c’est la plage. Si la plupart des voyageuses adorent, quelques-unes trouvent le temps un peu long. Le lendemain de leur arrivée, journée entièrement libre, plusieurs partirent à l’aventure, traversèrent sur le continent pour se promener dans un village thaï. Elles en revinrent la tête et les sacs pleins de souvenirs. Une rencontre avec un groupe de jeunes, sur le traversier du retour a tourné à la fête et ce fut pour elles l’un des premiers beaux contacts avec la population.
L’après-midi du second jour, une excursion en mer amena tout ce beau monde sur de petites îles pour faire de l’apnée surtout et se baigner. La mer est riche de poissons de toutes sortes, très colorés, et de coraux qui se sont refaits depuis qu’El Nino, il y a une quinzaine d’années est venu les détruire en réchauffant trop l’eau de la mer.
Ce samedi matin, nous quitterons ces lieux. Les vacances sont finies, le voyage peut commencer.
Sur la plage, étendues dans leur chaise longue ou sur le sable, massages, tatouages, manucures et pédicures, dégustation de fruits vinrent ponctuer le plaisir entre les baignades dans une eau dans laquelle on entre comme dans son bain. Les services sont offerts par de nombreux vendeurs, que l’on peut trouver harcelants, et qui viennent hélas souvent déranger la quiétude des lieux. L’humour, la qualité des services et des prix plus qu’abordables aidant firent que tout le monde réussit tout de même à faire bon ménage.
Nous sommes à trois heures de route de Bangkok, dans le golfe du Siam, sur une île nommée Kho Samed. Étant donnée sa proximité de la Capitale, Kho Samed fut l’une des premières développées pour le tourisme balnéaire et demeure l’une des plus fréquentées de la Thaïlande, surtout les week-ends quand arrivent par groupes les Bangkokiens. Nous sommes donc loin de l’île et de sa plage solitaire à laquelle on peut rêver. Et celle-ci, si elle existe encore, se trouve très loin de Bangkok et nécessiterait un trop long déplacement.
La mer est la partie «vacances» du circuit. Elle se trouve au début du circuit, pour permettre aux voyageuses de se reposer d’un long voyage de plus de trente heures et d’un décalage horaire de treize heures. Et Ko Samed fait fort bien «la job».
Le repos à la mer, c’est la plage. Si la plupart des voyageuses adorent, quelques-unes trouvent le temps un peu long. Le lendemain de leur arrivée, journée entièrement libre, plusieurs partirent à l’aventure, traversèrent sur le continent pour se promener dans un village thaï. Elles en revinrent la tête et les sacs pleins de souvenirs. Une rencontre avec un groupe de jeunes, sur le traversier du retour a tourné à la fête et ce fut pour elles l’un des premiers beaux contacts avec la population.
L’après-midi du second jour, une excursion en mer amena tout ce beau monde sur de petites îles pour faire de l’apnée surtout et se baigner. La mer est riche de poissons de toutes sortes, très colorés, et de coraux qui se sont refaits depuis qu’El Nino, il y a une quinzaine d’années est venu les détruire en réchauffant trop l’eau de la mer.
Ce samedi matin, nous quitterons ces lieux. Les vacances sont finies, le voyage peut commencer.